Les Centuries de Nostradamus
(1975, 286 pages)
Quand paraissait le livre Les Centuries de Nostradamus ou le Dixième Livre Sibyllin, l’abbé André Richard écrivait dans L’Homme Nouveau: «Une production de Raoul Auclair ne tombe jamais dans le vide. Elle trouve toujours un public fidèle et vaste, séduit par le style, l’élan, la rare connaissance de la signification des nombres, l’ampleur de la synthèse, le “fouillé” d’une vue pourtant haute et large de l’histoire, et un certain don de “divinisation”, joint à un souci de rectitude absolue de foi catholique.»
Journaliste au même journal, Marcel Clément précisait: «Raoul Auclair continue de décrypter les Écritures et les événements, l’un servant de transparent à l’autre. Ici, c’est vraiment la totalité de l’histoire qu’il envisage à travers l’Écriture Sainte. Il est certainement l’un des esprits lucides de notre temps pour dire le mystère de l’histoire.»